Bonjour {firstname},  

 

Bonne Année à vous ! Je vous souhaite une bonne santé, car il devient de plus en plus clair que la santé est notre bien le plus précieux. Ayez du courage pour affronter tout ce que 2022 vous amène. Tâchez de profiter des bons moments, car il y en aura, j'en suis sûre !

 

Si, comme moi, vous habitez dans l'hémisphère nord, c'est l'hiver maintenant. Que vous voyez la neige dehors ou seulement dans votre imagination, je vous propose de peindre une scène d'hiver.

Vous pouvez ajouter des petits objets au bonhomme de neige pour en faire une véritable composition aux techniques mixtes.

 

Il y a bien d'autres façons de représenter des bonshommes de neige, évidemment. En voici quelques-uns que vous pouvez trouver sur le site d' Animassiettes :

 

 

Nous voici au début de la troisième année consecutive avec l'école à distance ou avec des masques, des nouvelles inquiétantes à la télévision, et tout cela sans savoir quand ça va finir.

Cette situation cause de l'angoisse chez certains enfants. Ils ont besoin d'y faire face et d'être rassurés sur l'avenir. Je ne suis pas psychologue, mais je peux vous proposer un projet à faire avec les enfants.

La poupée à soucis est une tradition qui vient du Guatemala. Avant de dormir, l'enfant confie ses inquiètudes ou ses soucis à la petite poupée et ensuite, il la met sous son oreiller. Au matin, la poupée a emporté les soucis et l'enfant a la force pour affronter une nouvelle journée.

Le simple fait de faire ce projet avec des enfants peut être une occasion pour eux de verbaliser leurs soucis et pour vous de les reconnaître.

Et si l'activité a du succès, voici comment faire une boîte où les poupées peuvent se reposer pendant la journée.

 

À cause de la progression du variant Omicron, les musées sont de nouveau fermés ici. Mais cela a l'avantage que beaucoup de musées offrent des visites virtuelles accessibles partout dans le monde.

Un endroit qui m'a fort impressionnée quand j'ai pu le visiter en personne est le Musée canadien de la guerre froide. Ce n'est pas un musée au sens traditionnel : c'est en fait un bunker de 10 000 mètres carrés sur quatre étages où le gouvernement canadien aurait pu se réfugier et diriger le pays en cas d'attaque nucléaire.

Cette cabane d'apparence anodine cache l'entrée du tunnel qui mène au bâtiment souterrain qui pouvait abriter et faire survivre 535 personnes pendant 30 jours.

Le site était secret et il a été opérationnel de 1961 à 1994. Il est maintenant appelé "Diefenbunker" d'après le premier ministre qui en avait commandé la construction, John Diefenbaker. La visite virtuelle est accessible jusqu'au 26 janvier. (Indications en anglais seulement).

 

Bonne semaine !

Joelle

 

 

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